dimanche 16 mai 2010

la douloureuse élyséenne


sur les pas bien riches
De toute façon l'Etat sait parfaitement combien je gagne puisque c'est lui qui me paye une misère. Tout de même un joli magot au bout de 12 mois de dure labeur ou plutôt de résistance à la connerie patronale... Si seulement ce fric était à moi boudieu, j'en ferais des voyages et des roulés-palpés !

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